Les cultures intermédiaires sont souvent un vrai coup de pouce pour mes abeilles. Ici, une dizaine d’hectares de phacélie et de moutarde (il y a aussi de la féverole), que les abeilles butinent en octobre. Elles peuvent ainsi faire quelques réserves supplémentaires pour l’hiver. Ces obligations culturales sont bénéfiques aux insectes. En revanche, c’est au prix de contraintes administratives et bureaucratiques, qui conduisent à la disparition de nombreux agriculteurs. Mais ça, je vous en reparlerai plus tard.